jeudi 1 novembre 2012

Podcast "One Shot" n°14 : My Life With Master



(Durée 53 : 44)

Ni Dieu ni maître... de Jeu ! Avec "My Life With Master", le jeu de rôle emblématique du célèbre Paul Czege, le maître va passer un sale quart d'heure... A long terme du moins car, pour le moment, ce sont ses sbires qui souffrent, qui écopent, qui pompent et qui podcastent ! L'objectif du jeu est de montrer les travers et les drames d'une relation affective disfonctionnelle. Mais, lorsque le jeu commence, il n'y a pas que la relation affective qui semble disfonctionner... 


A moins que... Fabien n'ait été un mauvais maître de geôle ! Dans ce cas, il doit être fouetté comme il le mérite ! Adrien, petit incapable ! Adrien, cours, vite, demande à Emmanuelle et à Aloïs de le flageller ! Et mon Thomas pendant ce temps là... Qui c'est qui va avoir la chance de verser le sel sur les plaiplaies du vilain Fabien ? C'est mon Thomas... c'est mon gentil Thomas. Va, Thomas, répands le sel ! Répands le sang !

Allez, je vous libère de votre Cellule, jusqu'à la semaine prochaine... héhéhé... pour un nouveau podcast encore plus... diabolique.

4 commentaires :

  1. Chose qui m'intrigue au niveau du podcast. Sur le grog la règle avec les dès bonus est décrite comme : "De plus, soit le meneur, soit le joueur peut augmenter son nombre de dés d'un dé supplémentaire en usant de son intimité avec la victime, de son désespoir ou de la sincérité qui anime le personnage.". De ce que j'en vois cette règle permet aussi au mj de gagner des bonus et ce en ajoutant quelque chose de malsain puisqu'il faut pour cela jouer le maître dans un de ces trois état (le gamin colérique qui montre sa volonté sincère de devenir quelqu'un d'important par exemple, en se confiant à l'un des sbires). Et il semble que le bonus et juste un dès en plus et non une augmentation du score des dès.

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  2. Kco quidam le jeu fait quand même en sorte que les joueurs puissent enchérir plus que le Maitre, il ne dispose que du D4 et du D6 alors que les joueurs peuvent aller jusqu'au D8.
    Pour revenir au podcast je suis d'ailleurs étonné que vous ayez pu contrer les ordres du maître si facilement, dans toutes les parties que j'ai faites les joueurs n'ont pu le faire qu'a la fin avant de tuer le maître, celui-ci jetant beaucoup trop de dés au début. Personnellement My life with master est un jeu que j'aime énormément et le reproche que je lui ferais serait aussi sur le maître pas forcément toujours agréable à joué (je suis un Mj gentil on va dire donc ça ne doit pas me correspondre) et pas toujours aussi charismatique qu'il le devrait(n'est pas Vincent Price qui veut). De plus il m'est arrivé lors d'une partie de me retrouver dans une impasse au moment de tuer le maître celui-ci en terme de système devenant de plus en plus dur à vaincre.

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  3. J'ai pas la base sous les yeux et je n'ai fait qu'une partie (bilan mitigé, à refaire mais "différemment") prémâchée, the snakes of dr Oserlinde par Steve Hickey qui le proposait pile poil quand j'ai voulu tester MLWM (avec retour en échange, etc...). Comme vous le jeu me paraissait très évasif et difficile à envisager dans sa globalité.

    Comme Soulclone, j'ai beaucoup de mal à imaginer les réussites au niveau des refus en début de partie, et ce même avec des points d'amours gracieusement octroyés (je crois que les prétirés en avaient 2-3)

    J'ai eu le même genre de problèmes avec le "je leur donne quoi à faire (qui soit assez horrible)" mais la plupart des joueurs avaient bien saisi le côté "contre la montre" de la montée du dégout de soi/lassitude ("entacher" le background/se faire capturer temporairement quand les scores sont trop haut). Et c'est ça qui doit pousser les joueurs à demander au MJ des scènes d'ouverture vers les villageois, dès qu'ils peuvent en caser une (en gros entre l'ordre et la mission, et après avoir essayé d'accomplir la mission), parce que c'est l'unique moyen de s'en sortir.

    J'ai entendu parlé de la peur qu'inspire le maître, mais quelle était son emprise sur ses différents laquais ? Pourquoi étaient-ils obligés de lui obéir ? A quoi tenait la relation dysfonctionnelle? Comment les manipulaient-ils ?

    Parce que le laquais qui larmoie, faut aussi le remettre à sa place et lui rappeler qu'il chiale ou larmoie SI le maître le veut bien. Tu laisses passer la première fois, après t'envoie un laquais lui faire une ablation des glandes lacrymales, ou tu lui parles par missive écrite s'il ne sait pas se tenir en société*. Pareil c'est le maître qui t'octroie un câlin pour t'inciter à mener à bien ta mission, ou qui pleure en t'expliquant que les msts arrivent bientôt et que vite il faut agir sans tarder...

    *Penser à faire en sorte que les avantages et défauts surnaturels pénalisent les laquais pour ce qui est de l'acceptation en société, compliquant leurs ouvertures aux villageois, et augmentant l'emprise du maître ("y a que moi pour t'héberger, je suis vraiment trop bon")

    My 2 cents (et je dois retourner bosser)

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