jeudi 7 décembre 2017

Podcast One Shot N°59 : La Vie de l'Absent, de Tiramisù



(Durée 02 : 01 : 39)
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Un enterrement est souvent suivi d'une réunion de famille. Autour de la table, chacun raconte les souvenirs et les secrets qu'il conserve du parent décédé. Ainsi, les convives reconstituent peu à peu La Vie de l'Absent. Pour son tout premier jeu de rôle, Stéphane Tiramisu propose aux joueurs de mettre en scène cette situation. 


Avec Jérémie, Darky, Antoine, Valentin et Flavie, nous interprétons les convives en créant chacun notre tour un souvenir de la personne décédée. Lorsque la partie débute, nul ne sait quelle a été la vie de l'absent. Nous la découvrons, petit à petit, au fil des prises de parole. Bien que les conditions d'une émission One Shot ne soient pas optimales pour jouer à ce type de jeu, nous entrevoyons parfaitement son immense potentiel.

Bonne semaine à tous ! Portez-vous bien et, surtout, jouez-bien !

3 commentaires :

  1. c'est normal que ce soit le podcast de la semaine dernière? Car les 5 supplices une deuxième fois c'est un sixième supplice....

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  2. J'avoue qu'en plus d'être assez discret dans les conversations à plusieurs, on rajoute la fatigue et le bouleversement ce qui fait qu'on doit m'entendre 20s sur les deux heures. Du coup, un retour très rapide en commentaire pour palier mon absence dans la vie de l'absence. Le point fort du jeu, c'est qu'il réussit a vraiment créer la sensation de découvrir un personnage par la construction des souvenirs des différents protagonistes. C'est d'ailleurs pour ça que j'étais chamboulé, car c'était très ressemblant à ce que j'ai vécu pour l'un de mes proches en 20 ans, mais résumé en une heure. Du coup je me suis retrouvé de joueur/acteur à joueur/spectateur et c'est le lendemain que j'avais vraiment fait le lien entre ma propre histoire et l'expérience du jeu.
    Le point qui me chagrine, c'est les coquillages qui cassent l'immersion, j'avais l'impression de les distribuer entre nous par conformisme plus qu'autres choses.
    En conclusion, j'aimerais bien refaire une partie maintenant que je sais à quoi il fait écho dans mon histoire et donc pouvoir m'investir en tant que joueur/acteur et je jouerai personnellement sans toucher aux coquillages.

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    1. Merci Jérémie pour ce petit mot.

      Ce podcast démontre, je trouve, que traiter d'émotions en jeu de rôle n'est pas un sujet anodin.

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