Podcast One Shot N°46 : Inflorenza Minima, avec Thomas Munier
(Durée 01 : 57 : 57)
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Cette semaine Thomas Munier nous présente Inflorenza Minima. Dans cette version minimaliste d'Inflorenza, la moralité des joueurs occupent à nouveau une place centrale. A l'aide de flashbacks et de flashforwards, le meneur de jeu d'Inflorenza Minima cherche à bouleverser les joueurs en obligeant leurs personnages à se sacrifier pour charger leurs cœurs.
Avec Jeff et Thomas, nous jouons Malory et Karl. Les deux frères, tous deux contraints de revenir à Priax, leur terre natale ravagée par la radioactivité, cherchent à retrouver leur mémoire. C'est pour eux l'occasion de régler des comptes avec un passé dont les contours restent flous. (Pour ceux qui voudraient en savoir plus sur la partie, Thomas Munier a bien fait les choses puisqu'il a mis en ligne un rapport de partie complet sur les Ateliers Imaginaires.) Cette partie nous a fait pleurer ! Comment Thomas Munier s'y est-il pris. Comment, en dépit de règles minimales, ce jeu parvient-il à saisir ses joueurs pour le meilleur et pour le pire ?
Bonne semaine à tous ! Portez-vous bien et surtout jouez bien !
Excellent. On arrive à comprendre en creux la fiction et on sent l'émotion qui transparaît dans vos voix. Okie, c'est pas ma came comme jeu, mais c'est toujours très agréable de jouer avec Thomas: J'ai aussi ressenti ce plaisir malsain à aimer se faire du mal.
RépondreSupprimerPour ce qui est des safe words, je trouve ça très bien. Pour avoir fait un peu de BDSM, je pense que c'est important d'avoir deux safe words différents pour signaler son malaise : pouce baissé et mains en croix
Le pouce baissé correspond à pause : ça fait trop mal sur le coup, mais on n'a pas envie d'arrêter, on a juste besoin de souffler un peu.
Les mains en croix, c'est plus l'arrêt d'urgence : on n'en peut plus, on veut arrêter tout de suite. À l'autre de nous accompagner doucement vers la sortie, de nous rassurer, de nous dire que ce n'est qu'un jeu.
Superbe épisode, très dense, un grand merci à vous trois (et en effet, qu'il y ai + de podcasts avec Jeff et Thomas serait top!)
RépondreSupprimerOuais je rejoins Julien, la fiction racontée était vachement bien pour se rendre compte, qu'importe ce que tu peux en penser Rom ^^
RépondreSupprimerValentin fait un retour d'expérience sur Inflorenza Minima après un rallye de séances :
RépondreSupprimerhttp://lesateliersimaginaires.com/forum/viewtopic.php?f=64&t=3890&p=35597#p35596