jeudi 12 novembre 2015

Podcast One Shot N°39 : Sur les Frontières



(Durée 01 : 08 : 53)
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Non, on ne peut pas dire que le dernier podcast soit un vrai one-shot. Du coup, cette semaine, nous testons un vrai jeu : Sur les Frontières de Manuel Bedouet. Dans ce jeu de rôle indépendant, illustré par Grümph, le gris, les joueurs incarnent de jeunes enfants envoyés sur les frontières pour devenir des héros ou accomplir leur funeste destin.


Avec Natacha, Emmanuelle et Adrien, nous testons le jeu pour vous. La force de Sur les Frontières réside clairement dans sa couleur et son esthétique polariséenne, saint-séyesque et tragico-chevaleresque. En dépit de quelques soucis techniques dans les mécaniques de création et de résolution des problématiques, nous entrons très facilement dans le jeu. En revanche, Sur les Frontières prendra probablement toute sa dimension en campagne. Bien qu'il se lise très facilement, le jeu ne pourra pas faire l'objet d'un one-shot aussi facilement qu'il en à l'air... vous allez voir...

Bonne semaine à tous. Portez-vous bien et, surtout, jouez-bien !

3 commentaires :

  1. Merci pour ce très bon podcast / playtest, très clair et qui donne une bonne idée du jeu.
    La création de perso et la destinée par "moments" fait vraiment envie.

    Et en effet la création des secrets et du setting par l'ensemble des joueurs est un brin compliquée :)

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  2. Yep, au moins vous avez évité le shitstorm sur celui-là.

    Je me demande à quel point par contre le concept des 12 moments et des méchants ne va pas à l'encontre du concept de groupe de PJs. Je me suis demandé plusieurs fois à l'écoute si en tant que MJ je ne me retrouverais pas à galérer pour caser tout ça pour tout le monde.

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  3. A l'écoute des explications d'Adrien (pas lu la base ni joué) j'ai l'impression que le système implique la découverte de l'univers et les secrets attendus par Natacha : après avoir vécu les différents moments, dont nous n'avons entendu que les premiers au cours du podcast, les héros découvrent justement que rien n'est ce qu'ils croyaient. Ils se trompaient sur leurs familles, les héros, l'empire ... s'il n'y a pas de secrets derrière tout ça ...

    Si tout n'est qu'illusions, alors pourquoi la création commune du setting ?
    Peut-être justement pour que les joueurs aient des choses à regretter, à abandonner.

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