jeudi 30 mars 2017

Podcast JDR : Jouer au Jeu de Rôle avec des enfants



(Durée 01 : 27 : 28)
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Saviez-vous que le jeu de rôle se pratique aussi en colonies de vacances ? La forme même de ces séjours estivaux s'accordent si bien avec le jeu de rôle qu'il existe même aujourd'hui des organismes spécialisés dans ce type de colos. Or, il se trouve que Natacha a de nombreuses fois été animatrice pour l'une d'entre elles. Elle a tiré de ces colos jeux et jeux de rôle de très bonnes expériences de parties mais aussi de très nombreuses interrogations. 

Des enfants participant à un Jeu de Rôle Grandeur Nature

Avec François, Maxime, Emmanuelle et Natacha, nous partageons nos expériences de parties jouées avec des enfants de tous âges et nous tentons - sans jamais vraiment y parvenir - de faire émerger quelques spécificités propres à ce jeune public. Faut-il adapter les jeux à la colo ? Faut-il édulcorer certaines thématiques quand on joue avec des enfants ? Comment encadrer l'imagination débordante de ces derniers ? Comment doit-on ou peut-on jouer au jeu de rôle avec des enfants ?

Bonne semaine à tous ! Portez-vous bien et, surtout, jouez bien !

3 commentaires :

  1. Podcast intéressant ! Jeune (on va plutôt dire enfant car je suis pas non plus vieux...) j'ai souvent été tenté par les colo jeux et jdr sans jamais passer le pas mais maintenant je le regrette limite !
    Personnellement j'ai commencé le jdr très tôt, que ça soit entant que joueur ou maitre et ça m'a beaucoup aidé dans mon développement personnelle.

    J'ai juste été surpris de l'absence de Fly sur ce podcast, son expérience perso aurait aussi été intéressante même si il y avait déjà assez d'enseignant comme ça autours du micro ^^

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  2. Très bon podcast , juste une remarque sur le fait qu'on retienne plus facilement les expériences mauvaises , c'est du de fait à notre évolution car en se rappelant bien des expériences où on souffre , on peut plus facilement les éviter si elles apparaissent de nouveau ou si on détecte des conditions initiales similaire à cet événement tristes.

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  3. J'ai un peu l'impression que vous êtes passés à côté de l’aspect pratique en vous laissant entraîner par l’aspect moral/sociétal au point d'en arriver à la conclusion qu’il n’y pas de différence. C’est sûr que dans la démarche ou l’organisation, il n’y en a pas. Mais les enfants ont une expérience de la vie et des références différentes, des capacités d’abstraction, de concentration, émotionnelles différentes. Tout ça entraîne des besoins et des parties différentes. Il me semblait intéressant d’en étudier les limites, les apports ou les approches que ça implique. J’ai d’ailleurs eu le sentiment que Natacha, et Emmanuelle même si c’est plus indirect, avaient plus à apporter que ce dont elles ont eu l’occasion de développer.

    Par contre je suis très intéressé par la référence à propos de l’enfant super héros qui saute par la fenêtre. Ça remet en question ce que j’avais lu et constaté par ailleurs. Qui allaient plutôt dans un sens opposé, c’est-à-dire que les enfants auraient une implication émotionnelle plus importante dans le jeu (excitation, peur, joie, etc) mais pas du tout de confusion entre fiction et réalité (sauf si on les manipule en abusant de leur naïveté vis-à-vis de la parole d’autorité). Et du coup, de ce point de vu, le moment de retour à la réalité servait juste à changer de registre émotionnel, à un retour au calme et à l’acceptation de l’autorité et des obligations de la vie quotidienne.

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