jeudi 4 décembre 2014

Podcast JDR : L'Agence, l'affaire Cahuzac



(Durée 01 : 05 : 48)

L'Agence, le premier jeu de rôle publié par Adrien Cahuzac est sorti la semaine dernière. C'est la fin d'un grand projet et le début d'une belle aventure : celle de Parparou, le label d'Adrien sur les Ateliers Imaginaires. L'Agence est un jeu de rôle indépendant, illustré par Maxime Teppe. Ce jeu de rôle à narration partagée 'made in France' a fait l'objet du premier podcast Playtest sur La Cellule. Le jeu est achevé, l'affaire Cahuzac peut commencer !


Avec Adrien, Maxime, Natacha et Darky, nous discutons de l'Agence, sa genèse, son histoire, mais aussi ses galères. De Mission Impossible 4 à Brazil, en passant par Space Alert, ce jeu de rôle a connu bien des inspirations et bien des épreuves. La sortie de l'Agence, c'est aussi l'occasion de revenir sur l'aventure créative d'un jeu de rôle. La route est longue, de l'idée du jeu jusqu'à sa publication. D'où vient l'idée de l'Agence ? N'y a-t-il pas une revendication occulte vis-à-vis des autres jeux indépendants francophones ? Quelle a été l'influence de Maxime sur le travail d'Adrien ? Quel avenir pour Parparou ?

Bonne semaine à tous ! Portez-vous et surtout jouez-bien !

23 commentaires :

  1. Félicitations à Adrien, Maxime et Natacha pour ce jeu de rôle formidable !

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  2. C'était vraiment un plaisir de réaliser le podcast. Encore un gros merci à la cellule pour son accueil.
    J'espère que tout le monde appréciera d'écouter le podcast autant qu'on a aimé l'enregistrer.

    PS: La vache, ça fait toujours aussi étrange d'entendre sa propre voix!

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  3. Je confirme la sortie de l'Agence. C'était pas gagné d'avance, les russes ont essayé jusqu'au dernier moment de faire capoter le plan.

    J'attend avec impatience les retours des cellules d'Agents fraîchement formées !

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  4. Je suis en pleine écoute.
    Au sujet de la rémunération des auteurs de BD (ou des illustrateurs), on est quand même assez loin de la réalité, attention.
    J'en parle en connaissance de cause ;-)
    Alors, oui, les auteurs de BD touchent 8 à 15% de droits, à se partager à 50/50 généralement entre scénariste et dessinateur (pas de partage, évidemment si c'est un auteur complet). Mais ils touchent aussi généralement des avances sur droits conséquentes, variables selon le projet et l'éditeur (avances partagées à 30% pour le scénariste et 70% pour le dessinateur). Ces avances, soyons réalistes, restent l'essentiel des revenus d'un auteur : ils touchent rarement de droits supplémentaires, uniquement en cas de ventes faramineuses. Les contrats signés chez des éditeurs protègent donc en cas de succès (si les droits générés par les ventes dépassent ceux des avances). Je parle là des "gros" éditeurs classiques, évidemment.
    On peut toujours faire des concessions lorsqu'un projet nous motive et nous passionne, ou lorsqu'il s'agit de faire ses armes... Maintenant, n'oublions pas de manger ;-)

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  5. Effectivement Yomgui, je n'ai pas parlé des avances sur droit. Et effectivement c'est un gros oubli; mea culpa. Le sujet étant resté sur la répartition des bénéfices que sur les revenus bruts, je suis resté sur une description très simpliste de la rémunération dans le monde de la bd. Non pas que ce soit confortable, puisque le prix du livre étant pratiquement identique depuis 30ans, les revenus des auteurs ont aussi stagné alors que le coût de la vie augmente...mais c'est un autre sujet.

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  6. Après il ne faut pas oublier que dans le milieu du jeu de rôles les moyens ne sont pas les mêmes que dans le milieu éditorial dit "Classique".

    Je fais moi-même pas mal de maquette gratuite ou payante (suivant les projets, éditeurs ou pas...). Mais il faut pas se leurrer. Très souvent, d'ailleurs pas plus tard que sur le projet http://fr.ulule.com/royaume-legende/, j'ai proposé mes services très en dessous de ce que je gagnerais chez un petit éditeur et je propose même de faire pas mal de chose en plus gratuitement juste parce que je veux voir le projet sortir. Pour servir la cause pour ainsi dire.

    Pourquoi ? D'un parce que j'ai un métier à côté de deux parce que je pense que certains font l'effort de traduire, créer, prendre en charge certain projet pour le plus grand nombre et que, si ils ne le faisaient pas, ce milieu serai moribond depuis pas mal de temps.

    Alors, oui il faut payer les maquettistes, relecteurs, illustrateurs...Mais faut pas non plus s'attendre à des primes de mercenaires non plus. Dans le milieu du JDR, c'est avant une passion, plus qu'un véritable moyen de subsistance.

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  7. Ah oui, je suis bien intéresser pour avoir les coordonnées de l'illustrateur.

    Merci d'avance

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  8. Tony, ce que tu dis est très vrai. Les rôlistes travaillent beaucoup par passion. Moi le premier. J'ai fait ce jeu par passion du jdr, cela m'a pris moult temps et me rapportera assez peu.

    Cependant, il faut faire attention à ce que cela ne devienne pas une excuse pour ne jamais payer qui que ce soit (ou mal payer). Aujourd'hui, je pense que j'aurais du augmenter encore un peu le prix de l'Agence pour mieux rémunérer Maxime.

    J'espère que dans l'avenir les prix des ouvrages de jdr vont augmenter. Les indés, mais les édités tout autant (si cela garanti un payement équilibré des divers acteurs et ne sert pas qu'à imprimer en couleur en A3 avec des CD d'orchestres philarmoniques). On m'a poussé dans ce sens, mais la comparaison avec les prix du marché m'a influencé beaucoup. Je pense que cette évolution prendra son temps, mais qu'elle sera salvatrice pour ce milieu.

    Enfin, si vous souhaitez contacter Maxime, l'illustrateur, vous pouvez visiter sa page web : http://www.maxime-teppe-illustration.com/ et y trouverez son adresse mail en gros : maxime.teppe@hotmail.fr

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  9. Ah ils sont beaux les anar du JDR indépendant ! À 18 euros le bouquin je passe mon chemin, dommage.

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  10. Hey Baptiste, renseigne-toi sur les prix des jeux des éditeurs (+50% pour le même nombre de pages) ! lol

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  11. Plaît-il ? Un problème avec son mucus nasal ? Les éditeurs feraient payer 27 € des jeux de 100 pages en noir et blanc imprimés sur du papier dégueulasse au format A5 ? Je suis perplexe quand même...
    Au delà de ça, payer 18 € un jeu ne me choque pas en soi. C'est le choix assumé de se faire une marge énorme (de comparer ça à de la friperie), d'augmenter le prix pour augmenter les marges et non la qualité, que je trouve assez malvenu. 18 € c'est le prix que fait payer Thomas Munier pour Inflorenza, qui fait pas moins de 350 pages bien remplies. Spirale de l'inflation. Bientôt les cadors du JDR indépendant vont nous vendre un rouleau de PQ à 50 boules. Alors oui attendons, attendons avec impatience les retours des cellules d'Agents embourgeoisés fraîchement formées !

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  12. Oui ta définition est exactement celle des jeux John Doe...
    En même temps, tout travail mérite salaire !!! L'auteur indé a le droit de prendre la marge qui part habituellement aux revendeurs et à d'autres intermédiaires puisque c'est lui qui assure ce travail. On peut être indépendant sans être con économiquement.

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  13. La marge que je prend comprend le boulot d'auteur, de comm', d'édition, de test, etc. A l'avenir j'espère pouvoir mieux payer mon illustrateur.

    Si mon jeu se vend bien et me rapporte, j'en serais d'autant plus motivé pour continuer à produire de bons jeux.

    Enfin, j'espère bien ne pas être jugé sur un nombre de pages. Un nombre de pages n'est pas un gage de qualité ni de travail. Le bon nombre de pages c'est celui qui suffit à expliquer comment jouer au jeu. Sinon, est-ce que tu juges un jeu vidéo au nombre de lignes de codes ? Ou bien au temps passé à y jouer ? Ou encore est-il calculé afin d'assurer un revenu cohérent aux développeurs basé sur un buisness model ? Je ne prétend pas avoir la réponse, mais bon...

    Sommes toutes, il y a un point Baptiste, sur lequel je te rejoins : la qualité d'impression de Lulu n'est pas folichonne. Je réfléchirai pour mes prochains projets à une autre solution.

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  14. Je veux juste, pour ma part, dire que quand je parle d'anar du JDR je ne parle pas de modèle économique, je parle vraiment de système de jeu. J'emploie "anar du JDR" pour parler des auteurs de jeux non-traditionnels.

    Que tous ceux qui ont des avis sur les prix de nos jeux, nous montrent les leurs et nous disent combien ils les vendent et/ou où ils les donnent et pourquoi ils les donnent.

    Si une solution gratuite existe en tous cas, je l'ai beaucoup cherchée et je ne l'ai pas trouvée. Je vous rappelle aussi que la Cellule est gratuite, qu'il n'y a pas de pub, que la plupart de nos jeux disposent de démos gratuites dans les convention, de kits d'initiation gratuits.

    La comparaison avec John Doe tient et ne tient pas. John Doe n'est pas vraiment un éditeur traditionnel, pour moi, Crotte de Nez. Ce sont des indépendants structurés comme une boite d'édition. Si la Cellule créait sa boite d'édition, cela donnerait quelque chose comme John Doe, avec une prod moins traditionnelle.

    Regardons les prix de Sans Détour ou des jeux américains plutôt. Alors ok, ils ont de jolis produits mais les tirages ne sont pas les mêmes.

    Les marges d'Adrien ne me choquent pas, vu le travail effectué. Je pense aussi à Natacha qui a fait beaucoup de boulot et qui, à travers la rémunération d'Adrien, se rémunère aussi puisqu'ils sont ensemble (elle profitera des restaurants payés par l'Agence).

    Vu son boulot, c'est vrai que Maxime mériterait davantage mais Adrien s'est déjà exprimé sur ce point et nul doute que ses prochains jeux donneront la part belle à l'illustrateur et maquettiste. Il faut bien commencer quelque part.

    Bravo Adrien ! Bravo Natacha ! Bravo Maxime ! Dans ce monde capitaliste, jusqu'à ce preuve du contraire, vous avez bien méritez un p'tit restaurant pour l'Agence.

    Quand nous parlons de rémunération pour nos jeux nous en sommes à des échelles comme "le restaurant". Nous ne sommes pas des chefs d'entreprises pourris, Baptiste. Il ne faut pas se tromper de combat ^^ Tu te trompes de cible. IL faut aller taper chez Lagardère, là. ^^ En toute amitié, je pense que tu tires sur l'ambulance.

    Un dernier point sur le 'anar'. Le gratuit couterait de l'argent à Maxime, Natacha et Adrien. Je le sais, car je l'ai expérimenté. J'ai fait un article (dans Le Maelstrom, dans des e-mag et sur divers forums) et des rapports de partie et de publication sur ce sujet.

    Si tu as de la documentation, Baptiste, sur tous ces thèmes, je veux bien la lire. J'ai déjà lu beaucoup de choses sur le sujet de l'anarchie, discuter avec des youtubers sur la question de la rémunération, d'authentiques anarchistes ou défenseurs de systèmes alternatifs, des militants divers et je me suis aussi posé des questions sur La Cellule elle même et dans ses micros. Refaire le monde jusqu'à trois heures du matin, j'adore ça. Mais quand il faut passer à l'action, en matière d'anarchie, dans un monde foncièrement hostiles à ces idées nouvelles, les choses se compliquent.

    En tant "qu'anrachiste" (même si je ne crois pas que je le sois vraiment), mon ennemi est un modèle, un système de jeu dysfonctionnel que je vais détruire. Si je fais payer mes jeux c'est seulement pour survivre dans l'économie capitaliste suffisamment de temps pour le faire s’effondrer. C'est donc seulement pour se donner le temps (et non faire des profits mirobolants) que je fais payer mes jeux à un prix dérisoire par rapport à leur valeur réel en terme de travail et d'heure de travail. Pour critiquer ce système que j’exècre autant que toi, pour faire effondrer la grande citadelle, il faut d'abord la gravir et en comprendre les mécaniques.

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  15. Baptiste, quelque soit ton combat, que la Force soit avec toi ! Mais ne vient pas critiquer le notre comme si tu ne savais pas qu'il était sincère et authentique. Tu crois sincèrement, comme Jérôme Larré, que les indépendants ont une démarche commerciale en étant déguisés en anarchistes ? On essaie des trucs, on tente un nouveau modèle, c'est tout ce que nous faisons. Et, en plus, pour compliquer le tout chaque indépendant a sa propre vision et ses propres ambitions. Tout se que je retiens c'est que les jeux sont bons et moins chers.

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  16. Romaric : en parlant de "sincère et authentique", pourquoi caricatures-tu ainsi mes dires? Et je t'avoue qu'après qu'on se soit déjà tous les deux expliqués là-dessus, je suis déçu de lire ça. C'est usant.

    Dans tous les cas, félicitations à Adrien, Maxime et Natacha pour la sortie de leur jeu. Je ne le connais pas encore, mais je suis persuadé qu'il a tout ce qu'il faut pour qu'on mette en avant ses qualités intrinsèques plutôt que de le réduire à une vaine opposition ou à un simple choix de prestataire économique.

    Je ne connais pas beaucoup de jeux qui soient si peu intéressants ou si mauvais qu'il vaille mieux parler de la posture de leurs auteurs que de leur esthétique ludique propre ou du support qui la transmet. En tout cas, à part quelques cas très particuliers de type RaHoWa, je n'ai pas de nom qui me vienne en tête.

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  17. Jérôme, ce qui est usant, c'est d'entendre ou de lire des gens qui accusent les indépendants d'avoir une démarche "commerciale" voir malhonnêtes sur les marges qu'ils s’octroient. Alors qu'il me semble que nous sommes justement les acteurs les plus transparents et honnêtes de ce marché et de ce milieu. :(

    Quand tu écris, Jérôme, dans ton entretien pour Coralie, sur, je cite : "la revendication de l'indépendance et les dérives commerciales et idéologiques qu'elle provoque ou subit." tu te places, de fait, parmi les gens qui m'usent, toi aussi. Tu le sais bien, ne fais pas le naïf.

    Nous en avons discuté, soit, mais nous avons le droit d'être encore en désaccords sur ces points. Ne me fait pas le coup du "nous étions d'accords ? pourquoi cette trahison ?"

    Nous ne sommes pas d'accords, Jérôme, et ce n'est pas un drame. C'est un débat. ;)

    Tu dis que je caricature tes propos ? Que chacun demande ton entretien et juge par lui-même de tes constats sur l'indépendance et des conclusions que tu en tires.
    Selon moi, t'es hyper bourrin, Jérôme. Ne fais pas semblant de t'étonner de mes réactions. (C'est d'autant plus vraie que sans jamais me citer - même si tu cites quand même La Cellule - c'est Ma démarche que tu critiques particulièrement.)

    Soyons objectifs, Jérôme. Qui est le moins cher ? Qui est le plus transparent sur ses marges ? Qui, quelque soit sa démarche, fait l'effort de l'expliquer et de la rendre publique et claire par le biais d'articles et de podcasts ? Qui en francophonie produit les jeux les plus innovants, du point de vue du système de jeu et ligne éditoriale ?

    Ce sont des productions indépendantes, pour le moment. C'est un fait.

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  18. Je ne fais pas le naïf ni n'ai aucun souci avec le fait que l'on ne soit pas d'accord. J'ai un souci avec le fait que tu me prêtes des propos qui ne sont pas les miens en le sachant pertinemment.

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  19. Au contraire, je crois savoir pertinemment que ce sont tes propos.

    Encore une fois, je laisse les gens juges de ce passage sur l'indépendance dans ton entretien pour Coralie David.

    Après, je ne prête à ces propos aucune agressivité de ta part. Tu t'inscris dans un débat et je trouve ça très bien ! Je réponds avec mes mots à ce débat. Comme je l'ai toujours fait, Jérôme.

    Je dis que tes arguments, sur ce point, sont irrecevables. Mais on n'a pas fini d'en discuter, c'est certain.

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  20. Salut à tous,

    J'ai terminé la lecture de l'Agence, et plusieurs constats s'imposent :

    1/ waow c'est beau ! félicitations à Adrien et Maxime la mise en page et les illustrations sont top

    2/ le jeu tient toutes les promesses annoncées lors du podcast "playtest" (du moins en théorie, je vérifie par la pratique en janvier)

    3/ p*tain p*tain ça donne envie tout ça ! :)

    Bref je le recommande chaudement.

    Les mécanismes créés par Adrien et Natacha sont vraiment originaux et on sent immédiatement le côté pragmatique et accessible dans la construction de l'histoire et l'intérêt que les joueurs vont y porter.

    En comparaison sur le même thème avec des mécanismes similaires, Wilderness of Mirrors est plus condensé en nombre de pages et plus light en terme de mécanique (ex pas de mécanique pour la gestion du planning).
    Mais je pense que ce qu'apporte l'Agence en + va permettre de convertir des joueurs un peu frileux pour faire de la narration libre.

    Sur ce point je te rejoins Romaric : le système de l'Agence le rapproche du jeu de société, et c'est à mon humble avis un très bonne chose pour ce type de jeu.


    Ah oui et pour rester dans le ton polémique des commentaires : mais oui ça les vaut largement ces 18 (ou 19?) euros.

    Et non ce n'est pas honteux de faire de l'argent à partir d'une passion. Adrien et Maxime se feraient 99% de marge dessus que ça ne me choquerait pas plus que ça.

    Après si Adrien le sort un jour en version PDF, j'imagine que le prix sera un chouilla en dessous. Mais pour un chouette ouvrage papier comme celui-ci auquel on va pouvoir jouer pendant des mois, je ne vois vraiment pas en quoi il y aurait à redire.

    Le premier exemple qui me vient à l'esprit dans le genre : Fiasco. Sa version papier est également à 19€, et franchement le rapport prix / re-jouabilité me semble tout aussi bon dans Fiasco que dans l'Agence.



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  21. Je tiens à préciser que je n'ai ni menacé, ni payé, ni enlevé de membre de la famille de Matthieu.

    Au passage, Lulu offre en ce moment les frais de port !

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  22. Oui ok, par contre, Adrien, est-ce que tu pourrais me rendre Soren, maintenant que le podcast est diffusé ? Merci.

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  23. D'ailleurs j'attend toujours le virement de ton oncle Jérôme sur mon compte aux îles caïman..

    Atrention où je révèle à tout le monde que l'Agence est en fait basée sur un hack de Rolemaster !!

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