jeudi 11 février 2016

Podcast JDR : Que permet le One Shot ?



(Durée 01 : 10 : 24)
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Doté de sa propre cohérence de ses propres règles et de son propre contrat social, le one-shot est un peu au jeu de rôle ce que la nouvelle est à la littérature. Car au cours d'un one-shot, le contenu fictionnel malléable ne dure qu'une seule et unique partie. Ce format semble idéal pour faire découvrir le jeu de rôle... mais, de la simplicité à la caricature, il n'y a qu'un pas.


Avec Yosei, Emmanuelle, Vivien, Chloé, Maxime, Adrien, Shado, et Natacha, nous filons la métaphore sexuelle pour décrire les avantages, les inconvénients et les limites du format one-shot pour les joueurs, pour les meneurs de jeux traditionnels et pour les créateurs de jeux.

Nous prenons une petite semaine de vacances. Nous nous retrouvons donc le jeudi 25 Février pour un nouveau podcast hebdomadaire. Néanmoins, la semaine prochaine, regardez dans cette direction, car sur Artzone Chronicles, le podcast Playtime, dans le format "Les discussions ludiques", publiera une discussion sur les relations entre la politique et les jeux de société à laquelle j'ai pu participer en compagnie de prestigieux invités. D'ici là, portez-vous bien et surtout jouez-bien !

2 commentaires :

  1. Toujours un réel plaisir de vous écouter !

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  2. C'était super intéressant.
    Je me faisais au début (lors de la définition) le parallèle entre nouvelle et roman (en général, une nouvelle repose sur une idée particulière et son traitement, alors qu'un roman est plus orienté personnage, évolution etc.) et je suis content que Romaric en ait parlé à la fin parce que je pense que ça résume pas mal la différence de traitement que j'en fais personnellement.

    Sur ce qu'on peut faire avec intérêt en one shot, quand on parle de «se lâcher» je pense aussi à une autre possibilités, aux rôles qu'on joue peu en campagne mais qu'on joue plus en «murder» (je voulais en venir là car cela n'a jamais été évoqué). Les traîtres, les personnages qui ont des secret qu'on sait pertinemment là pour être éventés ou du moins découverts à un moment donné. C'est effectivement très rare de faire cela en campagne... Et les scénario de convention avec leur fiches de personnages «romancées» avec peu de compétences etc. reflètent pour moi un peu cet aspect.

    Sinon petite remarque sur les prétirés et les compétences : on peut aussi imaginer certains systèmes permettant de façonner son personnage en cours de jeu (Hystoire de Fou le fait par exemple, à la créa on a des «points de génération» à allouer durant la partie. Le joueur... découvre les compétences de son personnage en réaction et son personnage se développe durant la partie et non pas à priori. Un peu le «story now» du personnage, le «chara now» quoi ;))

    Et aussi merci pour les impressions d'auteur de jeux, c'est vraiment très intéressant.

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