jeudi 18 juin 2015

Podcast JDR : Le juste prix des Jeux de Rôle



(Durée 02 : 23 : 24)
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Dernier podcast de la saison et, comme d'habitude, pour finir en beauté, nous traitons d'un sujet brulant : les prix des jeux de rôle. Comment les auteurs indépendants fixent-ils leurs prix ? Le jeu de rôle doit-il suivre les prix du marché ? Les éditeurs suivent-ils les prix du marché à l'heure actuelle ? Les frais de port sont-ils un frein à l'achat ? Quels sont les prix des jeux en PDF ? Les jeux de rôle sont-ils plus chers au XXIè siècle qu'ils ne l'étaient au XXè ?


Avec Vincent,Vivien, Jeff, Maxime et Adrien, nous débattons de ces quelques questions dans la joie, l'ivresse et la bonne humeur. Nous fêtons allègrement cette sixième saison passée en votre compagnie. Nous vous souhaitons de bonnes vacances à tous ! Nous nous retrouverons le jeudi 10 septembre pour le lancement de notre septième saison.

D'ici là, portez-vous bien et surtout jouez bien ! Bonnes vacances !

13 commentaires :

  1. Merci à tous ! Pour votre participation, pour votre fidélité ! Passez de bonnes vacances ! :)

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  2. Super podcast , et parfait comme conclusion pour la fin de la saison !
    Par contre faut se méfier de ce genre d'études.
    Si internet "détruirait" plus d'emploi qu'il n'en créerait , c'est simplement parce qu'il augmente considérablement la productivité et qu'il supprime des tonnes d'intermédiaire qui existaient juste parce qu'internet n'était pas là. Il faut donc recréer un système qui répartissent les richesse de cette production plus équitablement. Des choses comme le salaire à vie de Bernard Friot ou le revenu de base. Je vous rappelle juste que dans les années 50 , on rêvait des années 2000 comme d'une époque où plus personne ne travaillerait à des tâches ardues et que celle ci seraient prise par des robots , on commence à arriver dans cette période , le problème , c'est que les classes dirigeante n'ont pas pensé que si il n'y a plus de travail , il faudra reclasser les qui n'en ont plus pour qu'il puisse s’épanouir individuellement .

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  3. Je suis un peu comme la fiche de PERSO DE MILES CHRISTI:

    à ma gauche: mes humeurs : avide de nouveaux JDR , les jeux actuels sont superbes
    à ma droite : mes vertus moniacales càd le budget alloué par ma femme aux jeux

    cette dichotomie entraine une tension interne et sans cesse , je dois restreindre mes envies pour augmenter sur l'échelle de la vertu familliale: TENIR LE BUDGET

    christophe champalaune

    les jdr sont chers mais cela est justifié,
    lorsque j'achète un jdr , c'est que je vais le jouer , non pas le mettre sur une étagère !!!

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  4. Je suis un peu comme la fiche de PERSO DE MILES CHRISTI:

    à ma gauche: mes humeurs : avide de nouveaux JDR , les jeux actuels sont superbes
    à ma droite : mes vertus moniacales càd le budget alloué par ma femme aux jeux

    cette dichotomie entraine une tension interne et sans cesse , je dois restreindre mes envies pour augmenter sur l'échelle de la vertu familliale: TENIR LE BUDGET

    christophe champalaune

    les jdr sont chers mais cela est justifié,
    lorsque j'achète un jdr , c'est que je vais le jouer , non pas le mettre sur une étagère !!!

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  5. Personnellement, je refuse de débourser 1 centimes pour un jeu de rôle, le jeu de rôle, c'est comme la marelle, c'est du Patrimoine de l'humanité, de la culture oral, Quand j'achète un Livre de base, ce n'est en aucun cas le jeu que j'achète, j'achète le travail d'écriture, la maquette, la qualité du support, le format, la couleur...
    J'ai jamais acheter le jeu "la marelle", par contre j'ai acheter de bonne craie blanche, j'ai acheter du bon ciment pour avoir un trottoir bien lisse pour le confort de jeu, j'ai acheter des suppléments: "Aide de construction; marelle", "Marelle et kabbale, les Séphiroth dés 7 ans".
    Le "JEU" n'a pas de prix, et lui en donné un est dangereux, je n'ai aucunement envie de payer une redevance, ou une taxe à chaque fois que je joue à un jeu sans en avoir leur Support commercialisable.

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    1. La nuance est intéressante. Est-ce à dire qu'un excellent jeu en noir et blanc, sur papier de mauvaise qualité, sans illustration et en même temps assez cher, tu trouverais cela stupide ?

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  6. Je dirais pas stupide, je pense que ce n'est pas le jeu qu'ils achètent, suffit de voir le nombre de joueurs de Dogs in the vineyard qui n'ont jamais vu son Support livre pour s'en convaincre mais juste une expérience de jeu et quelques PDF d'aide de jeu amateurs qui traine sur le www... Acheter le Livre Dogs est selon moi du fétichisme de l'objet, un mécénat détourner par flemme(s'inscrire à Paypal, c'est chiant), je n'achète pas ce produit parce qu'il le vaut mais pour "contribuer" à la prospérité de l'auteur lui permettant de créer d'autres jeux, ou par "idéologie" et dans ce cas je paye la "rareté", je ne peux jouer sans un support "écrit et complet" de peur de jouer à un autre jeu sans m'en rendre compte donc je paye plus cher parce que je n'ai pas le choix. Aucune de ces raisons son stupide, mais achètent ils réellement le "jeu"? (désolé pour les fautes, je suis un dyslexique en phase terminale)

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  7. La dernière, finalement, je la trouve stupide comme raison.

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  8. Super podcast, comme toujours! Seul regret, c'est que le concept de prix libre n'ait pas été plus développer. Faudrait que Thomas Munier poste un ptit commentaire ici pour combler ça ;)

    Sinon, pour le commentaire et notation sur Itunes, je viens d'aller voir et le soucis c'est qu'il faut s'inscrire et mettre un numéro de carte de crédit (même si gratuit). Même si c'est pas énorme, c'est pas hyper engageant.

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  9. Artemis Faernaur21 juin 2015 à 10:13

    comme dit plus haut, une petite intervention de Thomas Munier serait intéressant, de par le rapport au prix libre pour le livre artisanale et du pdf (gratuit).
    Fin bref, podcast intéressant, mais comme toujours, ça part de tous les cotés, et on perd vite le sujet ^^'

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  10. Chouette podcast!

    J'avais fait des calculs sur l'évolution du paiement des créateurs de jdr en 12 ans et:

    "Ma conclusion est que les artisans pigistes et illustrateurs du jdr se sont quand même pris une sévère branlée niveau revenus."

    Mon article de l'époque:
    http://www.thomasbe.com/2012/06/03/salaires-et-jdr-ii-le-retour-2000-vs-2012-backstab-vs-di6dent/

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  11. La taille joue pas mal sur la perception « d'en avoir pour son argent ». Je ne sais pas si c'est encore le cas, mais au début des années 2000, les applications de la suite Microsoft Office étaient connues pour avoir des tailles artificiellement gonflées (par exemple en y cachant des jeux, ou juste en mettant du vide entre deux fonctions), afin que le client ait plus l'impression d'en avoir pour son argent. L'application n'aurait fait que quelques malheureux mégas, une taille un peu désuète au vu de la somme investie.

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  12. Un podcast très intéressant. En temps qu'impliqué dans des scènes musicales underground je retrouve beaucoup de parallèles dans les conditions de vie, les variations de prix entre gros poissons signés sur des majors et petits indépendants, les transformations liées à internet et à la dématérialisation, et hélas le célèbre "don't quit your day job"

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