jeudi 26 février 2015

Garage N°10 : Ceci n'est pas un titre



(Durée 01 : 19 : 19)
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Le titre est la porte d'entrée, le seuil d'un univers quel qu'il soit. Certains le choisissent par affection, d'autres par simplicité ou par intuition. Mais les derniers, beaucoup plus calculateurs, choisissent leur titre pour des raisons marketings ou pour le bon plaisir du Grand Dieu Google (vous me faites tous un jet de SAN, je vous prie). Quelle est la meilleure façon de choisir un titre ?


Avec Emmanuelle, Adrien, Natacha et Cédric, nous menons cette réflexion en justifiant nos propres choix de titre. Le titre doit-il être pensé pour Google ? Et si oui, pour des projets de quelle nature ? Le titre doit-il être pensé pour le marketing ? Faut-il un titre à l'image de l'oeuvre, un titre accrocheur ? Peut-on titrer des oeuvres comme on titre des articles ? Comment un jeu doit-il être titré ?

Bonne semaine à tous ! Merci de votre fidélité. Portez-vous bien et, surtout, jouez-bien !

16 commentaires :

  1. Ah le podcast arrive trop tard, déjà choisi le titre de mon jeu mais vais quand même l'écouter, ça risque d'être intéressant tout de même

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  2. Plutôt que squatter le Google de tes proches Romaric essaye un outil comme positéo

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  3. Le seigneur des anneaux ça a été SDA avant même le langage SMS hein, Paris Saint Germain c'est le PSG, Mac Donald c'est Mac do depuis toujours ou presque, penses pas que ça soit lié au langage SMS

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  4. Attention ! L'auteur n'a pas toujours raison et il arrive que l'éditeur ait de meilleures idées que l'auteur car il a le recule nécessaire pour un regard neuf. D'autre part ce dernier se place dans une logique commerciale et non purement artistique. J'estime qu'il vaut mieux être lu quitte à avoir un titre putassié que de produire un chef d'oeuvre total qui ne sera jamais lu. Envisagez que les fleurs du mal n'ai jamais eu de succès si le livre c'était appelé autrement et vous comprendrez ou je veux en venir. Le succès suscite inévitablement l'intérêt et l'échec très rarement. A choisir je préfère etre du côté de ceux qui vendent (et donc font passer leur message) au prix d'arrangements éditoriaux ou marketing que des auteurs isolés et qui s'estiment (parfois à raison) incompris.

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  5. Dire de l'éditeur et de l'auteur qu'ils sont sur un pied d'égalité parce qu'il y a un contrat entre eux est d'une naïveté touchante. Qui se sent à égalité avec son banquier ?

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  6. Quelle naïveté ? Personne ne t'oblige a te faire éditer si tu n'es pas en accord avec ton éditeur. En revanche je suis d'accord que si tu refuses le contrat en l'état il y a dix autres auteurs qui prendront ta place sans discuter. Tu peux toujours refuser rarement négocier.

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  7. Petite réaction vis-à vis de la question des moteurs de recherche: d'un côté quand on parle d'une oeuvre au sein d'un article il faut pour le moteur de recherche que le titre apparaisse clairement dans les mots clefs, autant pour les titres aux même, nous sommes "condamnés à l'originalité", sous peine d'être enterrés dans les tréfonds de Google.Quelque part, ça nous force à ne pas donner à notre jeu un nom éculé.

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  8. Eric, Strate, pourriez vous

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  9. je pourrais oui
    désolé pour le multi commentaire mais je commente en même temps que j'écoute, j'aime bien discuter ainsi, "à chaud" donc plus le podcast avance + j'ai matière à commenter CQFD

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  10. Petit détails techniques. Google ne référence pas la taille des titres mais le code html qui leur est associé et donc par voie de conséquence les différents titres et sous titres.

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  11. Je peux me planter mais il me semble que le titre original des Fleurs du Mal c'était Les Lesbiennes et non pas Les Putes

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  12. J'ai découvert les podcasts de la cellule surtout les garages, il y a quelques temps, plutôt sympa. Je passe par là (n'ayant aucune boîte mail sur le pc, ni google, yahoo) pour proposer quelques sujets sur le garage.

    Notamment pour aller plus en profondeur dans les systèmes de jeux à pool de dés ou système D100. A savoir si ces deux types de systèmes peuvent orienter plus vers un propos qu'un autre. J'ai l'impression que le pool peut orienter assez facilement vers la narration, alors que le D100 est peut-être plus mécanique.

    Également peut-être un garage sur les traits comment en créer, comment les encadrer, à quoi servent-ils, etc.

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